@melunaka Pour les noms en double, ça ne peut pas être une histoire du style changement de numéro et tu as recréé un contact au lieu de modifier l'ancien ? Sur mon ancien téléphone j'ai eu trois numéros différents pour ma mère de cette façon-là.
@Mikie1600 Ça n'est pas forcément si gênant que ça de confondre :-)
En gros, Mastodon, c'est le logiciel qui fait tourner Piaille, et le Fédivers c'est l'ensemble du réseau, incluant d'autres serveurs faisant tourner Mastodon, mais aussi d'autres serveurs faisant tourner d'autres logiciels compatibles.
Après, « Fédivers » est possiblement un peu trop large, parce que ça inclue aussi des trucs plus ou moins compatibles mais qui ne s'utilisent pas du tout de la même façon, typiquement PeerTube qui sert à diffuser des vidéos.
En gros, Mastodon, c'est le logiciel qui fait tourner Piaille, et le Fédivers c'est l'ensemble du réseau, incluant d'autres serveurs faisant tourner Mastodon, mais aussi d'autres serveurs faisant tourner d'autres logiciels compatibles.
Après, « Fédivers » est possiblement un peu trop large, parce que ça inclue aussi des trucs plus ou moins compatibles mais qui ne s'utilisent pas du tout de la même façon, typiquement PeerTube qui sert à diffuser des vidéos.
@Mikie1600 Perso je prends le truc un peu plus largement (d'autant que je n'utilise pas le logiciel Mastodon, perso, chez moi ça tourne avec Pléroma), et du coup je parle des Fédigens.
@ploum @FLOZz Ben, désolé, mais perso je ne sais pas ce qu'il y a dans ta tête ou pas (et je ne connais pas ce à quoi c'est une ref, visiblement), je lis juste un article plutôt cool et au milieu, paf, y a une phrase qui n'a rien à voir et qui me renvoie à un truc sur lequel j'ai régulièrement à bosser, donc ça me triggue un peu ^^"
@jor Je pense que ça dépend pas mal de ce que tu recherches, mais pour les jeux sans DRM (donc une bonne partie de ce que propose GOG), @playit fait un taff plutôt cool.
Y a pas de front-end ni rien, ça te transforme les installateurs que tu récupères sur GOG en paquets que tu peux installer par les outils intégrés de ton système, et ensuite tu lances simplement les jeux depuis ton menu habituel comme n'importe quel logiciel que tu aurais installé depuis les dépôts.
Perso j'aime bien cette façon de faire ; mais si tu cherches un outil du style front-end forcément ça ne va pas t'aider.
Y a pas de front-end ni rien, ça te transforme les installateurs que tu récupères sur GOG en paquets que tu peux installer par les outils intégrés de ton système, et ensuite tu lances simplement les jeux depuis ton menu habituel comme n'importe quel logiciel que tu aurais installé depuis les dépôts.
Perso j'aime bien cette façon de faire ; mais si tu cherches un outil du style front-end forcément ça ne va pas t'aider.
@ploum @FLOZz Alors, l'article est super intéressant et je le rejoins sur pas mal de points, mais par contre, le « Pluton restera toujours une planète » fait un peu tache au milieu du reste ^^"
Je suggère quand même un peu de se renseigner sur l'histoire des différentes découvertes et les raisons et critères de la classification actuelle, parce que justement, c'est bien de ne pas s'accrocher à une idée juste parce qu'on a été bercé à ça et d'essayer de voir les vrais trucs importants à noter sur la question, comme tu le fais pour le sujet de l'article.
Je suggère quand même un peu de se renseigner sur l'histoire des différentes découvertes et les raisons et critères de la classification actuelle, parce que justement, c'est bien de ne pas s'accrocher à une idée juste parce qu'on a été bercé à ça et d'essayer de voir les vrais trucs importants à noter sur la question, comme tu le fais pour le sujet de l'article.
D'un côté, je suis un peu triste de ne pas être allé au PSL XXL ce week-end alors que j'avais dit que j'irais et que l'évènement a l'air bien cool.
De l'autre, depuis que je suis rentré du taff vendredi soir, j'ai dormi pas loin de 24h, donc je crois que j'avais effectivement besoin de rester à me reposer.
De l'autre, depuis que je suis rentré du taff vendredi soir, j'ai dormi pas loin de 24h, donc je crois que j'avais effectivement besoin de rester à me reposer.
Il y a quelques jours quand j'ai publié le dessin du requin du Groenland (regardez dans le fil si ça vous intéresse), j'ai mentionné qu'on avait estimé son âge au carbone 14, et ça a fait lever quelques sourcils (à juste titre, car pour les besoins de mon texte j'ai fait un sacré raccourci)
Du coup j'ai dit que j'allais clarifier tout ça dans un fil, si la datation au carbone 14, son application en biologie et tout ça vous intéresse je le mets en dessous ! J'ai essayé de rester accessible à tout le monde et le ton est pas très professionnel, je m'en excuse d'avance ⬇️
16/16 En tout cas, je pense que j'ai fait le tour de ce que j'avais à dire sur la question pour aujourd'hui, même si je vais évidemment finir ce thread par la phrase par laquelle Richard Feynman terminait ses cours sur la physique quantique : « Si vous m'avez bien compris, c'est que je n'ai pas été clair. »
Allez, la semaine prochaine, on attaquera peut-être enfin ces histoires de constantes nommées d'après Max Planck, depuis le temps que je vous les mentionne, et on en profitera pour parler d'un léger petit souci dans le domaine de la physique : la théorie de la relativité générale et la théorie quantique sont incompatibles entre elles. Oups. En attendant, je prends les retours et les suggestions, comme d'hab. Merci pour la lecture !
Allez, la semaine prochaine, on attaquera peut-être enfin ces histoires de constantes nommées d'après Max Planck, depuis le temps que je vous les mentionne, et on en profitera pour parler d'un léger petit souci dans le domaine de la physique : la théorie de la relativité générale et la théorie quantique sont incompatibles entre elles. Oups. En attendant, je prends les retours et les suggestions, comme d'hab. Merci pour la lecture !
15/16 Pas la peine de venir imaginer un pouvoir de l'esprit sur la matière ou que sais-je encore : si la physique quantique a plein d'aspects bizarres, elle ne vient absolument pas justifier les nombreuses croyances « new age » qui la prennent pour prétexte, et qui souvent n'ont de rapport avec elle que ce mot de « quantique » utilisé à tort et à travers.
Mais si ce genre de sujets-là que vous intéresse, alors vous en apprendrez bien davantage en écoutant l'excellent podcast de @MetadeChoc qu'en lisant mes pouets, car c'est une question que je maîtrise assez peu. Vous trouverez ça notamment sur sa chaîne « Script » sur Skeptikon, mais aussi sur plusieurs plateformes davantage dédiées aux podcasts.
Et puis si vous voulez aller voir son site, c'est par là : https://metadechoc.fr/
Mais si ce genre de sujets-là que vous intéresse, alors vous en apprendrez bien davantage en écoutant l'excellent podcast de @MetadeChoc qu'en lisant mes pouets, car c'est une question que je maîtrise assez peu. Vous trouverez ça notamment sur sa chaîne « Script » sur Skeptikon, mais aussi sur plusieurs plateformes davantage dédiées aux podcasts.
Et puis si vous voulez aller voir son site, c'est par là : https://metadechoc.fr/
14/16 Il a pourtant fallu pas mal de temps pour arriver à formaliser cette conclusion, puisque cette explication, la meilleure dont on dispose à ce jour pour expliquer les différences de fonctionnement entre le monde quantique et notre réalité de tous les jours, n'a été formulée qu'en 1970, et qu'on n'a commencé à en trouver des preuves expérimentales qu'en 1996, quand Einstein et l'autre, là, ont formulé leurs expériences de pensée en 1935.
Le principe est que, dans le monde autour de nous, aucune particule n'est isolée : tout interagit avec tout. Et les interactions entre les particules peuvent avoir le même effet qu'une détection que nous mettrions en place : si les objets quantiques sont dans plusieurs états à la fois, les objets macroscopiques sont pour leur part constitués de tellement d'interactions dans tous les sens qu'à leur niveau, un seul état simultané est possible.
Mais pour plus de détails, je vous renvoie à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9coh%C3%A9rence_quantique
Le principe est que, dans le monde autour de nous, aucune particule n'est isolée : tout interagit avec tout. Et les interactions entre les particules peuvent avoir le même effet qu'une détection que nous mettrions en place : si les objets quantiques sont dans plusieurs états à la fois, les objets macroscopiques sont pour leur part constitués de tellement d'interactions dans tous les sens qu'à leur niveau, un seul état simultané est possible.
Mais pour plus de détails, je vous renvoie à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9coh%C3%A9rence_quantique
13/16 Qu'on parle du chat et de la fiole de poison ou du baril de poudre, il faut quand même préciser une chose : ouvrir la boîte ne change rien. Ou disons, pour revenir à l'histoire du nom choisi par Heisenberg, qu'ouvrir la boîte ne jouera que sur notre (in)certitude. Au moment où on décide de l'ouvrir, ce qu'il y a dedans a déjà été déterminé, et à aucun moment l'animal ou l'objet n'aura été dans plusieurs états à la fois.
Pourquoi ça ? Parce que quelle que soit la manière d'imaginer un tel dispositif, pour briser la fiole ou faire exploser le baril en fonction de l'état d'une particule, il est d'abord nécessaire… de détecter l'état de cette particule. Ce qui va donc la forcer à en adopter un et un seul, puisqu'elle n'est dans plusieurs états à la fois que tant qu'on ne détecte rien.
Pourquoi ça ? Parce que quelle que soit la manière d'imaginer un tel dispositif, pour briser la fiole ou faire exploser le baril en fonction de l'état d'une particule, il est d'abord nécessaire… de détecter l'état de cette particule. Ce qui va donc la forcer à en adopter un et un seul, puisqu'elle n'est dans plusieurs états à la fois que tant qu'on ne détecte rien.
12/16 Une variante lui a alors été suggérée par Erwin Schrödinger : celle d'un chat enfermé dans une boîte dans laquelle un dispositif brise ou pas une fiole de poison, toujours en fonction de l'état d'une particule. Si la particule est dans plusieurs états à la fois, alors la fiole est à la fois intacte et brisée, et donc le chat est à la fois mort et vivant, tant qu'on n'a pas ouvert la boîte pour vérifier.
Évidemment, ce n'est pas sur le Fédivers que j'apprendrais à qui que ce soit que les chats attirent davantage notre attention que les barils de poudre, et la version de Schrödinger est devenue bien plus célèbre que celle d'Einstein. Ce qui est un peu dommage, car, Schrödinger lui-même, le scientifique, était par ailleurs une assez horrible personne (des détails se trouvent sur sa fiche Wikipédia (surtout la version anglophone), mais disons que le TW « abus sexuels sur mineurs » nous évitera de détailler ici), et franchement on gagnerait à oublier un peu son nom.
Évidemment, ce n'est pas sur le Fédivers que j'apprendrais à qui que ce soit que les chats attirent davantage notre attention que les barils de poudre, et la version de Schrödinger est devenue bien plus célèbre que celle d'Einstein. Ce qui est un peu dommage, car, Schrödinger lui-même, le scientifique, était par ailleurs une assez horrible personne (des détails se trouvent sur sa fiche Wikipédia (surtout la version anglophone), mais disons que le TW « abus sexuels sur mineurs » nous évitera de détailler ici), et franchement on gagnerait à oublier un peu son nom.
11/16 Quand on commence à évoquer la physique quantique, il faut donc s'habituer à ce que nos objets d'études soient à plusieurs endroits, ou dans plusieurs états, simultanément, jusqu'à ce qu'une observation vienne « forcer » une possibilité plutôt qu'une autre. Mathématiquement parlant, c'est quelque chose de tout à fait gérable : tant qu'on ne parle que d'équations, la physique quantique ne présente aucun problème (aux gens qui ont le niveau, en tout cas).
C'est surtout pour ce qui est de notre imagination que les difficultés se mettent en place. Surtout si on essaye de le transposer sur des objets de tous les jours. Ainsi, Albert Einstein avait proposé d'imaginer un baril de poudre qui exploserait, ou pas, en fonction de l'état d'une particule : si la particule peut être dans plusieurs états à la fois, alors il faudrait admettre que le baril de poudre a explosé et n'a pas explosé en même temps !
C'est surtout pour ce qui est de notre imagination que les difficultés se mettent en place. Surtout si on essaye de le transposer sur des objets de tous les jours. Ainsi, Albert Einstein avait proposé d'imaginer un baril de poudre qui exploserait, ou pas, en fonction de l'état d'une particule : si la particule peut être dans plusieurs états à la fois, alors il faudrait admettre que le baril de poudre a explosé et n'a pas explosé en même temps !
10/16 Aussi bizarre que ça paraisse, une particule quantique ne peut en fait pas avoir simultanément une vitesse et une position. C'est le fait de chercher à mesure l'une ou l'autre de ces propriétés qui la fait exister… et rend alors impossible de déterminer l'autre, ce qui amène à quelques blagues de niche assez spécifique (à base de flic qui arrête un·e physicien·ne sur la route et lui demande « Dites, vous saviez à quelle vitesse vous rouliez ? », par exemple).
Ce principe d'indétermination a été nommé un peu hâtivement « principe d'incertitude » par Werner Karl Heisenberg, et depuis, tout le monde semble s'accorder pour garder ce nom, mais en râlant sur le fait qu'il ne correspond pas vraiment (c'est un problème de détermination, pas de certitude). Mais même si tout le monde râle, personne ne semble décidé à essayer de changer de nom, ce qui est peut-être aussi une sorte d'effet quantique bizarre.
Ce principe d'indétermination a été nommé un peu hâtivement « principe d'incertitude » par Werner Karl Heisenberg, et depuis, tout le monde semble s'accorder pour garder ce nom, mais en râlant sur le fait qu'il ne correspond pas vraiment (c'est un problème de détermination, pas de certitude). Mais même si tout le monde râle, personne ne semble décidé à essayer de changer de nom, ce qui est peut-être aussi une sorte d'effet quantique bizarre.
9/16 D'ailleurs, De Broglie a montré au passage que ça ne s'arrêtait pas à la lumière. Les particules de matière présentent également une telle dualité. Ce sont notamment ces travaux qui mèneront, dans les années qui suivent, à abandonner le modèle présentant les atomes comme une sorte de système solaire miniature, avec des électrons bien localisés tournant autour du noyau, comme je le mentionnais rapidement la semaine dernière⁽*⁾.
Pour rester fidèle à la réalité quantique, on ne peut décrire les électrons autour d'un atome que par des nuages de probabilité, considérant que chaque électron est partout à la fois tant qu'on ne l'a pas « forcé » à prendre une position précise par un dispositif de détection spécifique.
(∗) Le thread est là si vous l'avez manqué : https://fadrienn.irlnc.org/notice/B0i3iWqqbgijU0cabg
Pour rester fidèle à la réalité quantique, on ne peut décrire les électrons autour d'un atome que par des nuages de probabilité, considérant que chaque électron est partout à la fois tant qu'on ne l'a pas « forcé » à prendre une position précise par un dispositif de détection spécifique.
(∗) Le thread est là si vous l'avez manqué : https://fadrienn.irlnc.org/notice/B0i3iWqqbgijU0cabg
8/16 Tout se passe en fait comme si, en l'absence d'un dispositif de détection sur son trajet, chaque photon individuel empruntait simultanément tous les chemins possibles devant lui, donc à travers les deux fentes à la fois, jusqu'à parvenir à une position au niveau du détecteur final qui dépend donc de toutes les interactions considérées.
La présence d'un détecteur sur son trajet cherchant à déterminer par quelle fente il passe va le « forcer » à prendre une position précise au moment du passage, et donc à ne plus passer que par une seule des deux fentes, ce qui affecte évidemment pas mal la suite du trajet.
La présence d'un détecteur sur son trajet cherchant à déterminer par quelle fente il passe va le « forcer » à prendre une position précise au moment du passage, et donc à ne plus passer que par une seule des deux fentes, ce qui affecte évidemment pas mal la suite du trajet.
7/16 Ça a évidemment pas mal surpris. Cherchant à comprendre le phénomène, on a donc tenté d'ajouter un capteur au dispositif, afin de déterminer par laquelle des deux fentes passait chaque photon. Et le résultat de l'expérience a été… que la figure finale a changé, montrant cette fois-ci le résultat typique d'un ensemble de particules et non plus des interactions entre des ondes.
Non seulement la lumière est à la fois onde et particule, mais elle semble même changer de comportement en fonction de la façon dont on cherche à l'étudier ! Après tout, observer, c'est perturber, et nous n'avons affaire là qu'à une des nombreuses bizarreries que compte le monde quantique.
Non seulement la lumière est à la fois onde et particule, mais elle semble même changer de comportement en fonction de la façon dont on cherche à l'étudier ! Après tout, observer, c'est perturber, et nous n'avons affaire là qu'à une des nombreuses bizarreries que compte le monde quantique.
6/16 C'est en fait quelque chose que l'on peut constater avec l'expérience des deux fentes de Young, en diminuant la quantité de lumière envoyée à travers le dispositif. Si l'on fait en sorte que la source n'émette plus que la quantité minimale de lumière possible, un unique photon, on va constater un impact ponctuel sur le récepteur, ce qui montre bien que c'est une seule particule qui a traversé le dispositif.
Là où la chose devient étrange, c'est que si on envoie plusieurs photons successivement, de façon strictement séparée, et qu'on note leurs positions d'impact… on voit progressivement se redessiner les zones claires et les zones sombres typiques de ce qui se passe quand deux ondes interagissent entre elles. Un peu comme si chaque photon avait individuellement reproduit ce qui se passe quand il y a assez de lumière pour passer par les deux fentes à la fois.
Là où la chose devient étrange, c'est que si on envoie plusieurs photons successivement, de façon strictement séparée, et qu'on note leurs positions d'impact… on voit progressivement se redessiner les zones claires et les zones sombres typiques de ce qui se passe quand deux ondes interagissent entre elles. Un peu comme si chaque photon avait individuellement reproduit ce qui se passe quand il y a assez de lumière pour passer par les deux fentes à la fois.
5/16 Car au début du siècle suivant, un autre physicien légèrement influent, cette fois dénommé Albert Einstein, a de nouveau mis en avant une vision corpusculaire de la lumière, ce qui correspondait mieux dans sa description de l'effet photoélectrique (qui est ce pour quoi il a obtenu son prix Nobel, les théories de la relativité n'étant pas éligibles). Toutefois, l'explication ondulatoire restait meilleure pour d'autres aspects.
C'est en 1924 que Louis de Broglie parviendra à trancher… ou plutôt, justement, à clore la question sans trancher : la lumière est en fait les deux à la fois, en fonction de la façon dont on l'étudie. C'est ce que l'on appelle la « dualité onde-corpuscule ».
C'est en 1924 que Louis de Broglie parviendra à trancher… ou plutôt, justement, à clore la question sans trancher : la lumière est en fait les deux à la fois, en fonction de la façon dont on l'étudie. C'est ce que l'on appelle la « dualité onde-corpuscule ».