Un harcèlement masculiniste c'est cela, s'adresser en ces termes à une doctorante. La violence débridée.
Ce type existe pour de vrai, il montre l'importance de son gros H index turgescent, de son temps précieux, mais seulement pour les doctorantes qui lui sont dignes.
Après trois ans de harcèlement le gars écrit ceci à une victime: "pas de harcèlement, c'est le fonctionnement des réseaux sociaux". Déshumanisation.
Avanzi a repris, avec Nolwenn, Anne-So et consorts, le relais du cyberharcèlement visant MP et SL, mené historiquement depuis trois ans par le trio Grompf, Nendily, Tipuncho (qui continue sous cadenas),
à partir du matériau de la Tronche en Biais.
En harcèlement au long cours, sur des années, c'est cela. Un passage de relais.
OK.
« J'ai des motivations de merde, je fais donc probablement très mal mon taff, mais j'en suis assez fier pour m'en vanter. »
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@SpiceOdissey OMG, le malaise d'étaler comme ca qu'on est une grosse bouse 
Le dernier poulain du harcèlement masculiniste initié par la Tronche en Biais est donc un prof de Neuchâtel qui menace tranquillement les doctorant.e.s et étudiant.e.s sur les RS.
Les zététiciens auront TOUT fait dans leur campagne de harcèlement.
Menaces, intimidations, mensonges, intrusions dans les espaces privés, vol, abus de confiance, ...
Un sentiment d'impunité total.
Un autre harceleur historique, Besançon, chroniqueur au journal fasciste et pseudoscientifique Le Point sponsor de la zététique, racle les fonds de tiroir en RT Marcel, une espèce de nobody, harceleur historique de journalistes et écrivaines belges, qui agite les bras depuis son sanatorium pour avoir un peu d'attention.
La lose.
Marcel en Belgique, c'est le tonton bourré qui s'est endormi sur sa chaise quand on range la salle ("faut y aller monsieur hein!").
Mazette, la zététique c'est quand même un gros appeau à blaireaux, le même effet qu'une crotte sur les mouches à merde.