#EELV qui enlève et ignore toute alternative à leur mode de pensée individualiste et contre-révolutionnaire.
Exemple : là, ils ne disent pas que les associations sont de plus en plus là pour limiter (mal) la suppression des services publics.
@ffeth
De toute façon c'est juste pour récupérer des adresses mail.
@parleur Ah ouais, quand même.
Donc, d'après les réponses disponibles, les gens qui ont conçu ce machin considèrent que celles et ceux de leur public, au choix :
A– ont besoin d'une structure déclarée pour socialiser (à la base rencontrer des gens ça s'appelle un groupe de potes, quand tu montes une asso c'est que t'as besoin de structurer ça), et se foutent probablement au passage des objectifs de ladite structure,
C– sont des vieux cons aigris pessimistes adeptes du sophisme de la solution parfaite (si ça ne suffit pas à régler tous les problèmes du monde c'est que ça ne sert à rien),
D– sont débordé·e·s (OK, c'est la seule réponse qui ne dégouline pas de mépris dans le lot, et c'est probablement le cas de plein de gens, mais du coup les personnes qui ont en pratique du temps à consacrer aux assos ne répondront pas ça),
E– sont intéressé·e·s par leur pognon plus que par n'importe quelle cause (et font un mauvais calcul au passage, parce que si la défiscalisation des dons permet de réduire ses impôts, t'as quand même besoin de payer plus que ce que tu aurais donné aux impôts pour ça, en pratique t'as juste choisi que ton argent irait plus à une cause particulière qu'à la collectivité en général),
F– ont déjà abandonné toute notion de service public (tu me diras, ils sont en cours de démantèlement rapide…) et considèrent qu'il n'y a plus que les trucs qu'on se construits entre nous pour constituer la société (ça peut coller avec une vision anarchiste, ceci dit).
Je n'ai pas mis la B– parce que j'ai un peu plus de mal à l'interpréter : on peut lire ça de façon indulgente en considérant qu'iels veulent dire que les assoces permettent de ramener du sens dans la vie des gens qui en manque cruellement par ailleurs ; ou de façon un peu plus cohérente avec le reste en considérant que, pour elleux, être dans une asso est une forme de monomanie.
Et le tout, sans la moindre évocation de la notion de militance. Du grand art.
Donc, d'après les réponses disponibles, les gens qui ont conçu ce machin considèrent que celles et ceux de leur public, au choix :
A– ont besoin d'une structure déclarée pour socialiser (à la base rencontrer des gens ça s'appelle un groupe de potes, quand tu montes une asso c'est que t'as besoin de structurer ça), et se foutent probablement au passage des objectifs de ladite structure,
C– sont des vieux cons aigris pessimistes adeptes du sophisme de la solution parfaite (si ça ne suffit pas à régler tous les problèmes du monde c'est que ça ne sert à rien),
D– sont débordé·e·s (OK, c'est la seule réponse qui ne dégouline pas de mépris dans le lot, et c'est probablement le cas de plein de gens, mais du coup les personnes qui ont en pratique du temps à consacrer aux assos ne répondront pas ça),
E– sont intéressé·e·s par leur pognon plus que par n'importe quelle cause (et font un mauvais calcul au passage, parce que si la défiscalisation des dons permet de réduire ses impôts, t'as quand même besoin de payer plus que ce que tu aurais donné aux impôts pour ça, en pratique t'as juste choisi que ton argent irait plus à une cause particulière qu'à la collectivité en général),
F– ont déjà abandonné toute notion de service public (tu me diras, ils sont en cours de démantèlement rapide…) et considèrent qu'il n'y a plus que les trucs qu'on se construits entre nous pour constituer la société (ça peut coller avec une vision anarchiste, ceci dit).
Je n'ai pas mis la B– parce que j'ai un peu plus de mal à l'interpréter : on peut lire ça de façon indulgente en considérant qu'iels veulent dire que les assoces permettent de ramener du sens dans la vie des gens qui en manque cruellement par ailleurs ; ou de façon un peu plus cohérente avec le reste en considérant que, pour elleux, être dans une asso est une forme de monomanie.
Et le tout, sans la moindre évocation de la notion de militance. Du grand art.
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