§ Posté le 17/10/2014 à 19h 51m 11
Parce que les mini-jeux, c'est bien. Comme le montre la capture ci-dessus, quatre mini-jeux sont désormais inclus dans le nouveau dépôt, et d'autres pourraient éventuellement venir plus tard, si j'avais l'inspiration.
C'est la même application qui contient ces différents jeux, et lancée sans arguments, elle vous permet de choisir celui que vous voulez lancer, et ses paramètres. Vous pouvez également spécifier un argument pour arriver directement sur le jeu concerné, par exemple « elzgame --memory
».
Des paramètres supplémentaires peuvent également être spécifiés pour configurer le jeu avant le lancement, dans l'ordre indiqué ci-dessus, les derniers pouvant être omis : « elzgame --hangman=4
» lancera un pendu à quatre mots, et « elzgame --minesweeper=10,11,12
» lancera un démineur avec 11 lignes et 12 colonnes, et contenant 10 mines.
Après ces remarques d'ordre général, quelques infos sur les jeux eux-mêmes, avec une capture pour chacun :
Le MasterMind est ce jeu où vous devez deviner une combinaison de couleurs.
Un clic droit ou gauche, ou l'utilisation des touches directionnelles droite ou gauche sur l'un des boutons permet de changer la couleur ; la touche espace, ou entrée, ou un clic sur le bouton vert (ou un clic milieu sur l'une des cases) permet de valider la combinaison actuelle.
Les deux barres de progression du bas sont alors remplies, la première indiquant le nombre de couleurs bien placées, et la seconde le nombre de bonnes couleurs mal placées.
Vous n'avez qu'un nombre limité d'essais (que vous pouvez spécifier) pour trouver la combinaison, sachant que vous pouvez choisir également le nombre d'emplacements et le nombre de couleurs disponibles.
Notez que le jeu utilise toutes les couleurs disponibles, y compris le blanc initial, et ne se gêne pas pour utiliser plusieurs fois la même couleur dans une combinaison donnée.
Le pendu est tout à fait classique, à une exception près : vous pouvez (ce n'est absolument pas nécessaire, hein) essayer de trouver plus d'un mot à la fois.
Dans ce cas, les différents mots vous sont présentés simultanément, et cliquer sur (ou valider au clavier) l'une des lettres disponibles se répercutera sur chacun d'entre eux. Attention, donc, à l'ordre dans lequel vous procédez.
Au delà de sept mots, pour des questions de disposition, une seule image de pendu vous sera affichée : elle indiquera l'état le plus critique, sans vous préciser de quel mot il s'agit. C'est donc pour les joueurs les plus chevronés.
Vous pouvez spécifier certaines tailles de mots si vous le désirez ; mais notez que le dictionnaire utilisé est celui qui sert à vérifier l'orthographe, et qu'il contient également les noms et adjectifs accordés et les verbes conjugués.
Une image de défaite s'affichera si vous dépassez le nombre d'erreurs, mais cela n'affichera pour autant pas quel était le mot à trouver : vous pouvez continuer d'essayer des lettres jusqu'à le trouver (et éventuellement sauver les autres, si vous aviez plusieurs mots).
Le démineur est lui aussi assez classique. Normalement, il est jouable entièrement au clavier. Néanmoins, les cases isolées seront peut-être difficilement atteignables avec les touches directionnelles (la touche tabulation pourrait aider).
La grille n'est calculée qu'au moment de votre premier clic (ou votre première validation clavier), histoire de s'assurer que vous ne commencerez pas la partie en cliquant sur une mine. Les drapeaux ne sont donc pas posables dès le départ (ils se posent par un clic droit, ou bien au clavier par les touches contrôle ou menu).
Notez que, dans l'immédiat du moins, les drapeaux ne sont pas automatiquement ajoutés s'il ne reste que des mines : vous devez tous les poser à la main pour valider votre victoire.
Cliquer sur le compteur de bombes en haut vous ouvre un menu, vous permettant de sélectionner un autre affichage : un compteur de drapeaux, et un indicateur de temps écoulé sont également disponibles.
Enfin, le Memory utilise des caractères unicodes pour les dessins (donc, si certains ne s'affichent pas correctement, tâchez de changer de police de caractères).
Vous pouvez choisir le nombre de « paires » de cartes, mais également le nombre de cartes que contiendra chaque « paire » (oui, bon, ce terme est mal choisi, du coup… « groupe » ?). Il faudra donc retourner à chaque fois deux, trois, quatre ou cinq cartes en espérant qu'elles soient toutes identiques.
Pour me simplifier l'affichage, j'ai fait en sorte que le nombre de lignes corresponde à ce nombre de cartes par groupe. Cependant, deux cartes identiques peuvent tout à fait être situées sur la même ligne, et ça arrive même fréquemment.
Les cartes trouvées sont retirées du jeu, et ajoutées dans la zone du bas : vous avez gagné dès qu'elle est remplie. Comme pour le pendu, le nombre d'erreurs (le maximum étant fixé en fonction de la difficulté) n'est donné qu'à titre indicatif, et vous pouvez continuer de jouer même après avoir « perdu ».
Le nombre de secondes est celui que vous avez pour mémoriser les cartes retournées : passé ce délai, le plateau se remet dans sa position de base. Vous pouvez cependant, si vous le désirez, régler un délai de zéro secondes pour avoir à retourner les cartes vous-mêmes, au bout du temps qui vous plaira.